Alex Romero est l'étoile montante du poker. Même à ses débuts lorsqu'il apprenait les ficelles du jeu, il a obtenu des résultats à faire pâlir d'envie les professionnels les plus chevronnés. Et il n'a pas l'intention de s'arrêter là.
Basé en Andalousie, dans le sud de l'Espagne, Alex était initialement destiné à une voie bien différente. En 2020, il exerçait encore la profession de kinésithérapeute et jouait au poker dans le cadre de ses loisirs. Malgré plusieurs résultats prometteurs à son actif, Alex n'avait pas encore fait le grand saut dans le monde du poker.
C'est durant la pandémie que le déclic a eu lieu et qu'il s'est mis à étudier le jeu de façon vraiment sérieuse. Comme dit le proverbe : « C'est en forgeant que l'on devient forgeron ». Même s'il lui aura fallu deux bonnes années pour en arriver là, Alex a soudain récolté le fruit de ses efforts assidus. En 2022, il est allé très loin au Main Event de l'EPT Monte-Carlo, où il a atteint la neuvième place, remportant à cette occasion 69 990 €, soit le plus gros gain de sa carrière.
Puis en 2024, il a cartonné lors du PokerStars UK & Ireland Poker Tour (UKIPT), raflant au total plus de 49 000 £ de gains lors de quatre événements différents. À la fin du tour, lors de la finale de Nottingham, Alex a arraché le titre de Joueur de l'année de l'UKIPT après s'être imposé face à ses adversaires Artús Giménez et Víctor Caballero. La même année, il a remporté le trophée ainsi que 5 925 € après sa victoire au No Limit Hold'em Heads-Up Championship de l'Irish Open.
Mais les talents de cette étoile montante ne se limitent pas à ses performances aux tables, déjà impressionnantes en soi. En plus de son rôle d'ambassadeur PokerStars, Alex est également le commentateur hispanophone de nos événements live. La passion et l'engagement qu'on lui connaît transparaissent dans cette activité.
Au pic de sa carrière, c'est aussi un homme d'action dont vous devriez entendre parler bien plus souvent à l'avenir.
Alex joue au poker en ligne uniquement sur PokerStars, où il est connu sous le pseudo « and1ero ».